Je me disais que
si, d’une part, par égarement, vous m’invitez à manger et, d’autre part, dans des p…… de verrines.
Abstenez-vous.
Merci infiniment.
Bien à vous
.t
si, d’une part, par égarement, vous m’invitez à manger et, d’autre part, dans des p…… de verrines.
Abstenez-vous.
Merci infiniment.
Bien à vous
.t
5 Comments
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Retour tardif chez moi, recherche d’un cd. Je tombe sur Chawata. Que devient-il ? Internet, un blog : bise, mecton. (Oliveman, lointainement pote des Bourgas)
Oliveman ???
Nan !
Chawata ne devient rien de plus de ce qu’il est déjà devenu.
Il n’est pas mort mais n’existe plus.
Et toi ?
Je pensais que ce message n’avait pas été enregistré. Yo, mec.
Je pensais à toi pour le « que devient », évidemment, pas au groupe (mais il m’arrive d’invoquer le « merci au pont de l’alma » comme preuve ultime de classe à une fête de la musique française, et comme exemple tout court.
Ça roule, encore en contact avec Pierre et Christophe (Gilles, moins). J’ai pensé à toi en rebusquant ce cd avec une certaine nostalgie.
Je t’embrasse
Je survis.
Mais ça va.
Je suis si content de te lire, t’as pas idée (utilise ce mot Classe à ton endroit, il sera bien au chaud).
Donc, survie.
Enfant, femme mais plus de travail depuis un an.
Pas de contact avec Gilles depuis un double bail, ni avec David depuis plus d’un an.
C’est un peu beaucoup de ma faute ceci-dit, je me cloportifie.
Si Chawata te retourne les souvenirs en mode peace, je suis le plus happy des ex-rockers. Je ne peux plus écouter de mon côté, ou alors très très alcoolisé (et seul.)
Bise
.t
Tu seras toujours un rocker, voyons (je suis fan, tu sais bien).
Bon, je rétropédale par rapport au précédent message: « ça roule », mais de manière qq peu bringuebalante quand même. Je te raconterai ça à l’occase, ailleurs que sur ton blog (qui est bien cool, quelle surprise).
Et mon coefficient de sociabilité n’est pas monté en flèche non plus (mais j’ai toujours bon goût, c’est déjà ça). Et je suis devenu un vieux con : non mais quelle époque, coincé entre les réacs et ceux qui auraient brûlé Hara Kiri en place publique.
Content de t’avoir fait un petit plaisir en me rematérialisant. En attendant la réapparition physique, n’en doutons pas.
Bise, man.