Lisez Éric Chevillard
– Mon ami, dit-il encore en saisissant son poignet, je te demande de détruire mes manuscrits, tout cela est trop imparfait. Tu le feras, n’est-ce pas ?
– Je te le jure.
Et l’écrivain expira, le visage déformé par un rictus amer, ayant vu dans l’œil de son loyal ami qu’en effet, cet abruti allait le faire.
haha !