Lisez Éric Chevillard

– Mon ami, dit-il encore en saisissant son poignet, je te demande de détruire mes manuscrits, tout cela est trop imparfait. Tu le feras, n’est-ce pas ?

– Je te le jure.

Et l’écrivain expira, le visage déformé par un rictus amer, ayant vu dans l’œil de son loyal ami qu’en effet, cet abruti allait le faire.

 

 

haha !

(http://autofictif.blogspot.fr/)

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